Le déficit de la balance des paiements de l'Algérie pour 2015 est estimée par le journal Les Échos à 30, 960 milliards de dollars: montant irrationnel et insoutenable. * Le bâtiment existe toujours. Amel Brahim-Djelloul chante un air de ''La princesse de Trébizonde'' de Jacques Offenbach (2' 22'')12/18/2015 Les forces résolument hostiles au Barrage vert dès 1968*: - les grands éleveurs, - les responsables de l'administration forestière, - les universitaires partageant les mêmes intérêts que les responsables de l'administration forestière. Les populations ont été également favorables à l'aménagement généralisé des formations forestières et l'ont très largement prouvé entre 1968 et 1994**. Les forces résolument hostiles, dès 1968, à l'aménagement généralisé des formations forestières d'Algérie: - les grands éleveurs, - les responsables de l'administration forestière, - les universitaires partageant les mêmes intérêts que les responsables de l'administration forestière. * L'expression Barrage vert n'apparaîtra qu'en 1972. Les reboisements du Barrage vert devaient couvrir en 1999: - 510 000 ha dans la partie centrale du projet, - 660 000 ha dans sa partie occidentale, - 260 000 ha dans sa partie orientale. * Cette appellation n'apparaîtra qu'à partir de 1972. ** ...qui l'admit avant d'y renoncer 5 ans plus tard sous la pression des responsables de l'administration forestière. Nota - La réalisation des plantations, leur conception et leur suivi devait incomber à des travailleurs spécialisés permanents et à des ingénieurs et techniciens bien formés à la gestion forestière (cf. le chapitre 20 de l'ouvrage Le préaménagement forestier). - Un centre de recherches dédié aux questions forestières concernant les régions semi-arides avait été prévu et financé. Construit dans les années 1970, le bilan de son activité reste à établir. - Un important réseau météorologique devait compléter le dispositif laissé par l'administration française. Références - Blog de www.foretnumide.com du: - 11 décembre 2015 - 12 décembre 2015 Commentaires - Il n'y eut pas ''des promoteurs'' du Barrage vert mais un promoteur: l'auteur de ces lignes. - Le promoteur du Barrage vert n'était pas un ''politicien'' mais un ingénieur civil des eaux et forêts. - À aucun moment entre 1968 et 1973* n'a été énoncé l'objectif de ''retenir le désert''.. - La proposition de réaliser de grands reboisements le long des Hautes plaines et de l'Atlas saharien n'a été faite ni ''pompeusement'' ni inavouablement. Il s'agissait d'un projet complémentaire à celui qui prévoyait l'aménagement généralisé des formations forestières. - Le ''biogéographe spécialiste des forêts'' a probablement fermé les yeux lorsque son périple l'a amené dans les parages de Moudjebara, des bandes routières de reboisement, de Zénina, d'El Bayadh... - L'auteur parle de ''pins d'Alep faméliques''; ses amis en Algérie évoquent des ''plants rabougris, dévorés par la chenille processionnaire...'', d'autres, des ''bonzaïs''... - Les ''eucalyptus rachitiques'' proviennent de la ''diversification des espèces'' imposée par les collègues écologistes et forestiers de bureaux et de séminaires du célèbre biogéographe. - Il est possible effectivement qu'un jour toute ''trace du barrage vert'' aura disparu: lorsque par exemple toute la forêt de Moudjebara** aura été anéantie par le défrichement. - La ''lisière passoire'' est une stupidité. * L'appellation Barrage vert n'apparaît qu'en 1972. ** L'expression forêt de Moudjebara est de Google Earth. |
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February 2022
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