Mohamed Boudiaf par son fils Nacer: une évocation à la fois détachée et instructive* (2016)2/17/2016
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2013: on confirme enfin la toute puissance des «seigneurs de la steppe» et des «barons du mouton»...2/16/2016 ... les mêmes dont il aurait fallu obtenir l'approbation avant le lancement du Barrage vert - selon plusieurs notables de l'université comme de l'administration. Nota: En 1969, le projet de reboisement de Moudjebara n'a été assis - sur des terrains domaniaux - qu'après un long conflit avec les seigneurs de la steppe de l'époque qui avaient délégué l'un des leurs pour ouvrir les hostilités en vue de renoncer aux travaux. Ce représentant des barons du mouton de la région concernée par le projet semblait présenter les qualités lui garantissant de remporter la partie puisque sensé avoir appartenu au FLN de guerre, il était à la fois: - maire, - responsable du FLN post 1962, - responsable de l'organisation des anciens combattants de la région... Le personnage était propriétaire d'un immense troupeau comme d'une importante fortune. En 1969 contrarier les intérêts de pareils dignitaires pouvait déjà vous coûter votre avenir professionnel, votre liberté, vos moyens de subsistance, voire votre vie (cf. les informations réitérées à ce sujet sur ce même site). Aujourd'hui il est probablement impossible d'implanter un projet de la taille de celui de Moudjebara - y compris sur terrain exclusivement domanial - tellement, plus qu'à la fin des années 1960, tout est au service des intérêts des riches. Signalons pour finir que les barons de la steppe sont également les barons de la forêt... mais même en 2016, la question est encore taboue. Pour un ancien ministre des finances «l’université algérienne n’arrive pas à donner de la qualité»2/16/2016 En se contentant de mobiliser d'importants moyens financiers en vue de remonter dans le classement Shangai, l'université ne fait que continuer à jeter son argent par les fenêtres. |
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