En octobre 2014, le dinar tunisien valait 46,117 dinars algériens.
Au 13 février 2016, le dinar tunisien valait 52,84 dinars algériens soit près de 5,3 fois plus2/14/2016 En octobre 2014, le dinar tunisien valait 46,117 dinars algériens.
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Document de 331 pages; classement entre les pages 168 et 250. Le dinar algérien, à sa création le 1er avril 1964 valait 1FF. Le franc français a été remplacé par l'Euro le 1er janvier 1999 sur la base: 1 Euro équivaut à 6,559575 francs français (arrondi à 6,56 FF). En 1964 l'Euro aurait correspondu par conséquent à 6,56 DA.. Cette valeur demeura à peu près inchangée jusqu'en 1986*. Le 11 février 2016 - 30 ans après - l'Euro, au cours officiel, s'échangeait contre un peu plus de 119 DA, ce qui signifie que le dinar, en 30 ans a perdu 18 fois de sa valeur; en d'autres termes, la monnaie algérienne a été dévaluée de 1800%. * date citée de mémoire, à confirmer par conséquent. Les importations de bois s'élevaient à 553,720 millions de dollars. Si, comme régulièrement allégué, les surfacturations atteignent 20% des montants déclarés, la valeur réelle des produits importés tournerait autour de 43 milliards de dollars. Pour Louis Trabut (1906) le cyprès de Maktar (Cupressus sempervirens) est spontané en Tunisie2/11/2016 « I. Le programme du barrage vert De 1962 à 1969 correspond à la mise en place de chantiers populaires de reboisement (CPR) 99000 Ha de plantations forestières ont été réalisés dans le cadre de l’amélioration et l’aménagement des parcours et la lutte contre l’érosion éolienne (Nedjraoui et al 2008). L’année 1974, a été marquée par la réalisation du barrage vert dans la zone présaharienne comprise entre les courbes isohyètes de 300 mm au Nord et 200 mm au Sud. La désertification était perçue à l’époque comme une «avancée du désert» . Il représente une bande de1000 km de pin d’Alep tout au long de la steppe comme technique visant à limiter l’avancée du désert. Ce programme avait pour objectif de freiner le processus de désertification et de rétablir l’équilibre écologique.Cependant, les résultats obtenus étaient bien au deçà de ceux escomptés: le choix de l’espèce, le pin d’Alep, dans une zone à faible pluviométrie; le non prise en compte des réalités socio-économiques de la région ;et le pin d’Alep très vulnérable à la chenille processionnaire, n’a pas été scientifiquement réfléchi. Sa conception a été revue en 1982 de sorte que l’objectif fondamental devient le rétablissement de l’équilibre écologique du milieu par une exploitation rationnelle des ressources naturelles et en introduisant de nouvelles espèces forestières telles que le cyprès et le chêne (Nahal, 2004). Le barrage vert, constitué essentiellement d’arbres forestiers, a été longtemps considéré à lui seul comme un moyen de lutte contre la désertification .C’est à partir de cet échec que les concepteurs ont commencé à réfléchir à d’autres initiatives.» Nota
1 - Le Barrage vert originel (1968-1973) n'a pas ''des'' concepteurs mais un concepteur; c'est la personne qui écrit cette note. 2 - Un programme de reboisement de grande envergure dans les Hautes plaines et l'Atlas saharien a été présenté au président Boumediène et à ses collaborateurs en septembre 1969 dans le canton Mezreb El Ali de la forêt domaniale de Senalba Chergui (Monts des ouled Naïl). Ce programme a été approuvé par le gouvernement; il ne sera dénommé Barrage vert qu'en 1972. 3 - Le projet de reboisement était couplé avec un plan d'aménagement généralisé des formations forestières naturelles. 4 - Cette bande forestière de 1000 km sur 15 ou 20 km soit prétendument décidée pour ''arrêter le désert'' est une fable imaginée pour discréditer le projet l'apparentant à une sorte de ''Mur de l'Atlantique'' végétal. 5 - les grandes lignes du projet Barrage vert sont présentées au chapitre 20 du volume 1 de l'ouvrage Le préaménagement forestier. |
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February 2022
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