Si le fait est avéré, ce rejet du travail manuel n'est apparu que récemment.
La jeunesse d'Algérie a travaillé avec enthousiasme et compétence par exemple dans les chantiers forestiers du Barrage vert (Moudjebara, bandes routières) ou du préaménagement (forets de Senalba ou des Monts de Daïa et de Saïda).