«D’ailleurs plusieurs initiatives des pouvoirs publics ont déjà été prises pour lutter contre le phénomène. A ce jour, la plus importante reste le «barrage vert», un chantier lancé en 1969 par le président Houari Boumedienne. Il s’agit d’une barrière végétale de 3 millions d’hectares qui s’étend sur 1.200 kilomètres de large pour protéger le nord du pays de l’avancée du Sahara. Malheureusement, le projet a été confronté à de multiples échecs successifs.
Dans l’Expression, le directeur de l’institut algérien de recherche agronomique, Fouad Chehat, explique notamment que le projet n’a pas réussi à associer les populations locales qui se sont senties menacées...»