Compte tenu des formulations euphémistiques du FMI, il faut sans doute comprendre que la vision économique des dirigeants de l'Algérie depuis 54 ans doit être revue de fond en comble.
À titre d'exemple cela fait plus d'un demi siècle qu'est proposée la réduction du déficit considérable de la filière bois et papier. Des modèles ont été constitués sur le terrain pour montrer une des manières d'y parvenir. Les suggestions -abondamment argumentées- n'ont jamais été prises en considération, l'administration forestière optant pour l'importation.