«Dans le cadre de ce reboisement, la DGF tente aussi de relancer le projet de Barrage vert de 1969, en mettant en place un programme ciblé sur des zones en désertification. Après avoir été confié à l’armée, ce chantier pharaonique est repris en 1994 par l’administration des forêts, qui n’a pas les mêmes moyens humains : le gouvernement de Boumediene avait mobilisé 20 000 recrues du Service national... Pourtant à cette date, à cause de méthodes peu efficaces, inspirées des Soviétiques, les 12 000 ha plantés étaient réussis seulement à 42 %. Et « si le chêne vert, le cyprès de l’Arizona et le pistachier étaient aussi prévus, seul le pin d’Alep avait été vraiment planté » (BETHEMONT 2001)...»
http://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/divers14-01/010055378.pdf
(p. 360)