* Il n'y a pas l'ombre d'une exagération ou d'une contrevérité dans cette affirmation de Madame Abane.
S'agissant ici d'un site dédié à la forêt, signalons qu'un grand nombre d'agents en uniforme - voire de responsables - disposaient d'attestations communales spécifiant qu'ils avaient combattu la présence française en Algérie. Or, comme les personnes que visait Madame Abane, ces forestiers - qui pour la plupart n'exercent plus aujourd'hui - s'étaient montrés de parfaits poltrons - pour rester gentil - dans les temps de danger.