Benoit Leleux, Yves Carlier et plus tard François Baar, tous trois de l'université catholique de Louvain furent, jusqu'à preuve du contraire, les seuls étudiants européens à avoir travaillé dans une forêt d'Algérie dans le cadre de l'élaboration de leur mémoire de fin d'études.
Des techniciens du projet Pineraie de Saïda de même qu'une promotion de la section forêts de l'institut national agronomique d'Algérie furent également accueillis en Belgique dans le cadre de stages.
L'administration forestière d'Algérie mit rapidement un terme à ces échanges qui prouvèrent pourtant leur utilité.