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« Benabdeli
11/22/2014 01:01:44
N en déplaise à Grim je n ai jamais permis à des étrangers de faire leur expérimentation en grandeur nature et c est avec fierté que j ai argumenté et mis fin à votre pseudo projet. Je n ai pas quitté mon pays et continue à y travailler. Quand à me juger vous n avez ni autorité ni compétences vous êtes forestier je suis ecologue. Les chiens aboient et la caravane passe.Savourer ce que vous aimez et taisez vous»
Le commentaire est signé du nom réel de son auteur qui avoue 27 ans après les faits qu'il est à l'origine de l'arrêt du projet de préaménagement des forêts des monts de Daïa et de Saïda. Il a fallu engager d'importants efforts sur une longue durée pour l'amener à reconnaître son méfait commis dans l'opacité absolue.
L'intervenant ment lorsqu'il écrit qu'il a «argumenté» sa décision; ses motivations, comme celles de son complice Ahmed Bouchetata* avaient, entre autres raisons, le racisme.
Comme beaucoup de personnes se réclamant du nationalisme version FLN il montre du doigt les ''étrangers''; nous y reviendrons.
La dernière phrase de ce responsable administratif forestier issu de l'institut agricole de Mostaganem et élevé abusivement au rang de docteur es sciences par l'université d'Aix-Marseille - comme son ami Kadik Bachir par exemple - invalide toute prétention à se faire passer pour ''écologue''.
Pour rappel, Kadik Bachir, en 1983, sur papier à entête de la «République algérienne démocratique et populaire» avait déjà accusé l'ingénieur civil des eaux et forêts Grim de travailler pour les intérêts d'une puissance étrangère, la Belgique en l'occurrence.
La lettre de Kadik Bachir, adressée au directeur général de l'ONTF devait être transmise au chef du bureau de sécurité et prévention (BSP) de l'entreprise avant de parvenir à la Sécurité militaire pour enquête avant sanction.
L'ingénieur civil des eaux et forêts Grim a été continuellement sous enquête de la Sécurité militaire** - entre autres - durant plus d'une vingtaine d'années et toujours suite à des accusations calomnieuses de la hiérarchie forestière d'Algérie***.
* à l'initiative également du ministre Mohamed Rouighi, du vice-ministre Aïssa Abdellaoui, du wali Abdelkrim Bouderghouma, du directeur général Abdelmalek Saïdi, du directeur Abdallah Ghebalou...
** Signalons qu'en 1987 la hiérarchie forestière a fait pression sur le capitaine Okacha, responsable du bureau de la Sécurité militaire de Saïda pour procéder - sans raisons valables - à l'arrestation de l'ingénieur civil des eaux et forêts Grim.
Des démarches similaires avaient été faites auprès de la gendarmerie et de la police de Saïda. Sans plus de résultat.
*** Rappelons également qu'il a été fait état sur plusieurs sites internet des tentatives d'assassinat - toutes à l'initiative de responsables forestiers d'Algérie - auxquelles à échappé l'ingénieur civil des eaux et forêts Grim.