«Durant les premières années, le projet était limité à la culture du pin alpin. Les responsables expliquent ce choix par la capacité de cet arbuste à résister aussi bien à la chaleur estivale qu’au froid hivernal, mais il figure parmi les types les plus sensibles à la chenille processionnaire qui menace actuellement des milliers d’hectares, en dépit des efforts déployés pour l’éliminer.
"Cette chenille, qui se nourrit des branches de l’arbre hôte influe sur sa croissance, d’où le manque de croissance de certains arbres même si leur plantation remonte à plusieurs années", a indiqué le conservateur, ajoutant que "pour lutter contre ces chenilles, nous procédons, entre décembre et mars de chaque année, à l’enlèvement des nids ainsi qu’aux épandages aériens qui ont donné leurs fruits en 2007".»