II - Les représailles contre l'ingénieur civil des eaux et forêts Grim
La dénonciation de fraudes diverses, les propositions insistantes pour mettre en valeur les forêts d'Algérie, la conception du Barrage vert originel (1968-1973), la mise en application de la méthode d'aménagement sur compartimentage préalable, l'inventaire des cyprès de Duprez dans le Tassili N'Azgueur ont eu pour conséquences des représailles incessantes de la part de l'encadrement du secteur forestier.
1 - 1965-1969
1965 - Affectation sans fonction précise au Centre algérien de recherches et d'expérimentations forestières (C.A.R.E.F.) à Alger.
- Enseignant de topographie à l'école des préposés forestiers de Bougara (ex Rovigo).
- Installation d'un dispositif expérimental concernant la défense et restauration des sols dans le canton Kouanine de la forêt domaniale de Senalba Chergui (Monts des Ouled Naïl). La recherche entrait dans le cadre de la coopération entre l'Algérie et la F.A.O.
Remarque
Dès le début s'est imposée l'idée de consigner les interventions forestières sur le papier: pour y laisser la trace, en noter l'évolution, en évaluer l'impact, le coût, le résultat, en décrire les modalités. Dans l'administration forestière de ces temps, les bilans - y compris techniques -, les méthodologies, les propositions, se transmettaient uniquement au moyen de lettres administratives débutant invariablement par ''j'ai l'honneur de...''
Plusieurs années plus tard il a paru utile de regrouper ces rapports sous forme de '' Publications artisanalement reliées et diffusées à compte d'auteur''; artisanalement parce que les moyens employés se réduisaient à une photocopieuse, du papier, deux couvertures et des spirales plastiques; à compte d'auteur' étant donné que les frais de reliure et d'expédition revenaient à la charge de l'intéressé l'administration forestière refusant continuellement de s'impliquer dans les dépenses de reproduction et de diffusion.
La liste des ''Publications artisanalement reliées et diffusées à compte d'auteur'' ne présente que les écrits mis en forme. Les résultats non encore regroupés dans des documents reliés - à financer encore à compte d'auteur le moment venu - ne sont pas évoqués. Les dates font référence aux années de transmission à l'administration forestière et non à celles de la reliure des documents. D'autres institutions, voire des particuliers, pouvaient être destinataires de ces écrits.
Les intitulés des Publications...figureront en italique et soulignés.
- Textes relatifs à la D.R.S. (Défense et restauration des sols) et à la rénovation rurale regroupés par S. Grim, ingénieur civil des eaux et forêts. Eaux et forêts, 1965, 297 pages
Nota
Travail sans originalité; il s'agit du regroupement des documents relatifs à la D.R.S. et à la rénovation rurale en Algérie utilisés dans le cadre du travail précédemment cité.
1966 - La propriété forestière vers le milieu du XXème siècle; Annuaire et index. Eaux et forêts, 1966, 63 pages.
1967 - Nomination fictive à la tête du Centre algérien de recherches et d'expérimentations forestières (C.A.R.E.F.)
- Premiers éléments de l'étude relative à la construction d'une chambre de conditionnement de graines forestières. Eaux et forêts, 1967, 19 pages.
1968 - Propositions pour la réorganisation administrative de la circonscription des forêts et de la défense et restauration des sols de Djelfa. Eaux et forêts, 1968, 58 pages.
- 1969. - Mutation sans raison à Abadla (sud de Béchar)
2 - 1970-1979
1972 - Interrogatoire par un adjudant de la Sécurité militaire; instigateur de la provocation: Ahmed Bouchetata, alors directeur général de l'I.N.R.A. Voici la question réitérée à laquelle il fallait répondre: «Tu n'es pas un musulman, c'est sûr; donc tu dois me dire si tu es Chrétien ou Juif...»
- Première tentative d'assassinat. Il devait s'agir d'un meurtre maquillé en accident domestique. Auteurs: personnel forestier subalterne agissant à l'instigation de leur hiérarchie.
Nota
Il peut paraître peu crédible que dans un pays en apparence paisible comme l'Algérie de 1972, des forestiers placés à un rang hiérarchique élevé, pour certains issus d'écoles forestières de qualité, aient envisagé de recourir au meurtre pour faire taire un collègue qui réclamait - certes avec insistance - la protection et la mise en valeur des forêts d'Algérie en même temps que des mesures pour enrayer la désertisation de la steppe (barrage vert originel). Il a fallu attendre les années 1990 pour faire état de ces agressions.
Ont été informés à plusieurs reprises: la présidence du Conseil, la présidence du Sénat, la présidence de l'Assemblée nationale, le ministre de l'Agriculture, le directeur général de l'administration forestière. Les correspondances adressées à ces responsables avaient également pour objet d'autoriser la réalisation d'un certain nombre d'ouvrages et opuscules traitant de la forêt et de la conservation de la nature (cf. la partie Publications artisanalement reliées et diffusées à compte d'auteur sur ce site (www.foretnumide.com).
Seul le premier ministre Smail Hamdani semble avoir réagi; il a demandé au directeur général des forêts d'étudier ma requête pour ce qui concerne l'élaboration d'ouvrages techniques. L'affaire en resta là.
- Inventaire des cyprès du Tassili N'Azgueur - 97 arbres vivants, 100 cyprès morts. Eaux et forêts, 1972, 40 pages.
- 1973. - Mutation sans raison à Saida.
- Suspension non motivée de traitement.
- 1976 - Arrêt des travaux de préaménagement dans la pineraie de Saida.
Nota
Le directeur général de l'O.N.T.F. Kamel Belbachir décide de l'arrêt de travaux de préaménagement, entamés à l'automne 1973, sur instruction du directeur des forêts Aissa Abdellaoui qui aurait estimé que l'approche de mise en valeur suivie réclamait l'approbation d'un aménagiste étranger reconnu. Le choix se porta sur Pierre Martinot-Lagarde ancien professeur de sylviculture à l'école nationale des eaux et forêts de Nancy, directeur des aménagements à l'Office national des forêts. Après des mois d'attente, Pierre Martinot-Lagarde arrive à Saida, visite le projet, se réunit avec les responsables centraux des forêts à Alger et repart en France.
Aucune information sur ce qui s'était dit à Alger. M. Martinot- Lagarde s'était-il montré hostile? favorable à l'approche? L'avait- il condamnée? approuvée?...
Aucune réponse. Il fallait attendre un résultat d'expertise qui ne parviendra jamais. La raison? C'est M. Matinot-Lagarde lui- même qui en parlera en juin 1980 lors d'un entretien qu'il m'accorda dans son bureau à l'Office national des forêts, Avenue de Saint Mandé à Paris.
Inquiété par les propos qui lui avaient été tenus - et dont il ne révélera presque rien même quatre années après -, il choisira de s'abstenir de formuler son avis. «Dans le climat passionnel extrême que j'avais trouvé, confiera-t-il malgré tout, il ne m'était pas possible de prendre position.»
Ce qui est certain c'est que M. Martinot-Lagarde n'a pas trouvé de climat passionnel ou tendu ni à Saida ni à Oran.
En quels termes lui a-t-on présenté le problème à Alger?
Peu de personnes peuvent répondre à la question...mais Aissa Abdellaoui sûrement.
- 1977 - Attente de l'autorisation de reprendre les travaux de préaménagement. Refus par la hiérarchie forestière d'une affectation à de nouvelles fonctions.
- Inventaire des cyprès du Tassili N'Azgueur - 126 arbres vivants, 130 cyprès morts. Eaux et forêts, 1977, 64 pages.
-1978 - Attente de l'autorisation de reprendre les travaux de préaménagement. Refus par la hiérarchie forestière d'uneaffectation à de nouvelles fonctions.
-1979 - Attente de l'autorisation de reprendre les travaux de préaménagement. Refus par la hiérarchie forestière d'une affectation à de nouvelles fonctions.
3 - 1980-1989
- 1980. - Mutation pour occuper une responsabilité fictive à Alger.
- Arrestation par la Sécurité militaire sur dénonciation calomnieuse venant de responsables du secteur forestier; après garde à vue de 48 heures,présentation par des gendarmes du tribunal militaire de Blida devant le juge d'instruction de Hadjout; mise en liberté provisoire; acquittement par le tribunal de Tipasa.
- 1981. - Mutation sans raison à Saida.
- 1982 - Début de de l'élaboration des Notices brèves du projet Pineraie de Saïda (N.B.P.P.S.); rédation des trois premières notices.
- - Comparution devant une sorte tribunal du F.L.N. sous l'accusation d'avoir insulté le Parti unique. Composition du tribunal: le garde forestier Kafi et un conducteur de véhicules de l'O.N.T.F. Verdict: acquittement pour manque de preuves.
- Constitution d'une cellule clandestine du F.L.N. au niveau de l'O.N.T.F. de Saida. Ses membres: des agents de l'O.N.T.F. de rang subalterne encouragés par leurs responsables; son chef: le conducteur de véhicules Benaouda; son rôle: informer la kasma officielle (cf. infra, 1984) de toute entorse à l'idéologie du F.L.N. dont pourrait se rendre auteur le responsable du projet Pineraie; son siège: un café situé à l'angle des rue Daoudi Moussa et Medeghri à Saida
1983 - Élaboration de la notice technique n°4. .
- Quelques mois avant la présentation de son mémoire devant le jury de soutenance, Bachir Kadik adresse une lettre officielle au directeur général de l'O.N.T.F. (Office national des travaux forestiers) dans laquelle il écrit que Grim, à Saida, travaille pour les intérêts de la Belgique. Par compassion, un agent de l'Office remet confidentiellement au calomnié une copie de la correspondance.
'' Les intérêts supérieurs de la Nation étant menacés'', comme il se disait dans ces temps à propos à peu près de n'importe quoi, le directeur général devait, après avoir pris connaissance de'' l'alerte'', transmettre le message au responsable du Bureau de sécurité et prévention de l'organisme (antenne de la Sécurité militaire) qui, à son tour, aurait à porter ''l'information'' vers ses supérieurs des Renseignements de l'Armée. La machination éventée, l'affaire, apparemment n'eut pas de suite.
- Requête en vue du réexamen par un jury impartial du mémoire ayant valu à M. Bachir Kadik, ancien préposé des services agricoles, l'offrande illégale du grade de docteur es sciences par une université française en 1983.
- Garants politico-administratifs de l'irrévocabilité de la distinction: Docteurs P. Quézel, R. Morandini, R. Loisel et S. Djebaili entre autres; garants scientifiques: personne.
- Un cas paroxystique de néo-lyssenkisme aux conséquences épouvantables sur la forêt et la conservation de la nature en Algérie.
Eaux et forêts, 1983, 60 pages.
1984 - Élaboration de 48 notices techniques (n°4 à 52). L'administration forestière, l'O.N.T.F. et le centre de recherches forestières refusent d'en assurer l' impression avant diffusion pour information et remarques éventuelles.
- Privation de l'indemnité due au titre d'enseignant vacataire du module d'aménagement forestier à l'institut national agronomique (I.N.A.) d'Algérie.
- Le chef de la cellule F.L.N. de Saida, le garde forestier Mokades, demande mon arrestation pour prétendument avoir mis au chômage les ouvriers du projet de préaménagement . Il était évidemment facile de vérifier que la plainte n'était pas fondée et que l'accusation d'ennemi de la classe aborieuse - comme on désignait en ces temps les ouvriers - n'avait pas lieu d'être portée
1985 - Élaboration de 24 notices techniques (n°53 à 76). L'administration forestière, l'O.N.T.F. et le centre de recherches forestières refusent d'en assurer l' impression avant diffusion pour information et remarques éventuelles.
- Destruction par des agents de l'administration forestière de deux placettes permanentes de sylviculture installées par les docteurs Pierre André et Philippe Blérot en forêt de Fenouane.
1986 - Élaboration de 24 notices techniques (n°77 à 100). L'administration forestière, l'O.N.T.F. et le centre de recherches forestières refusent d'en assurer l' impression avant diffusion pour information et remarques éventuelles.
1987 - Élaboration de 24 notices techniques (n°101 à 125). L'administration forestière, l'O.N.T.F. et le centre de recherches forestières refusent d'en assurer l' impression avant diffusion pour information et remarques éventuelles.
- Mutation sans raison à Alger.
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'administration forestière.
- Interrogatoire - tendu mais sans violence - par deux agents de la Sécurité militaire dans l'un des bureaux du vice-ministère de l'environnement et des forêts (responsable d'alors: Aissa Abdellaoui).
- Interrogatoire quelques semaines plus tard - avec vociférations et menaces de l'un des deux agents de la Sécurité militaire - dans le salon du ministre de l'hydraulique, de l'environnement et des forêts en présence du directeur des aménagements forestiers Abdallah Ghebalou et du responsable du Bureau de sécurité et prévention du ministère (à la tête du département ministériel à cette époque: Mohamed Rouighi).
1988 - Élaboration de 24 notices techniques (n°126 à 150). L'administration forestière, l'O.N.T.F. et le centre de recherches forestières refusent d'en assurer l' impression avant diffusion pour information et remarques éventuelles.
- Suspension de salaire.
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'administration forestière.
1989 - Élaboration de 50 notices techniques (n°151 à 200). L'administration forestière, l'O.N.T.F. et le centre de recherches forestières refusent d'en assurer l' impression avant diffusion pour information et remarques éventuelles.
Nota
Une partie de ces cinquante notices constitueront les 2 volumes du manuel de préaménagement rédigé sur l'insistance de Raymond Antoine, professeur émérite de l'université de Louvain avec un financement de l'Union européenne. L'ouvrage, pour la forme, était sensé avoir été réalisé à la demande du ministère de l'Hydraulique d'Algérie.
- Le préaménagement forestier
Volume 1: Théorie, 369 pages.
Volume 2: Sommiers forestiers, 151 pages
Le manuel de préaménagement forestier a été élaboré avec la collaboration de l'Unité des eaux et forêts de l'Université catholique de Louvain (docteurs Pierre André et Philippe Blérot notamment) et le financement de l'Union européenne. L'ouvrage a vu le jour grâce au dévouement de Raymond Antoine, professeur émérite de l'Université catholique de Louvain.
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'administration forestière.
- Interdiction - notifiée - d'exercer à l'O.N.T.F. (Office national des travaux forestiers). La décision revient à rendre impossible toute application sur le terrain de modèles d'aménagement ou de sylviculture, notamment le volet non rectiligne de la méthode d'aménagement sur compartimentage préalable , les réalisations ne relevant pas de forestière.
- Notices brèves du projet Pineraie de Saïda. Volume 1: Notices 1 à 76 - années 1982,1983, 1984, 1985. Eaux et forêts, 1989, pages 1 à 456.
Nota
Il s'agit du regroupement des Notices en volumes en prévision d'une impression. Refus de l'Administration d'imprimer les Notices qu'elles soient présentées séparément ou regroupées en volumes.
4 - 1990-1999
La série des Notices rédigées sous le timbres de Notices brèves du projet Pineraie de Saïda s'achève avec le numéro 200. Elles avaient plusieurs destinataires dont les structures importantes du secteur forestier.
À partir de l'année 1990 débutent les Notices forestières brèves.
1990 - Élaboration de 12 notices techniques (n°1 à 12). L'ensemble des structures forestières s'opposent à leur impression avant diffusion et remarques éventuelles
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'administration forestière.
- Notices brèves du projet Pineraie de Saïda. Volume 2: Notices 77 à 125 - années 1986 et 1987.. Eaux et forêts, 1990, pages 457 à 714.
1991 - Élaboration de 12 notices techniques (n°13 à 24). L'ensemble des structures forestières s'opposent à leur impression avant diffusion et remarques éventuelles.
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'administration forestière.
- Notices brèves du projet Pineraie de Saïda. Volume 3: Notices 126 à 200 - années 1988 et 1989.. Eaux et forêts, 1991, pages 715 à 1153.
1992 -Élaboration de 23 notices techniques (n°25 à 47). L'ensemble des structures forestières s'opposent à leur impression avant diffusion et remarques éventuelles.
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'administration forestière.
1993 - Élaboration de 53 notices techniques (n°48 à 100). L'ensemble des structures forestières s'opposent à leur impression avant diffusion et remarques éventuelles.
1994 - Élaboration de 100 notices techniques (n°101 à 200). L'ensemble des structures forestières s'opposent à leur impression avant diffusion et remarques éventuelles.
La série des Notices rédigées sous le timbre Notices forestières brèves s'achève avec le numéro 200. À partir de 1995 débute les Notices élaborées sous le timbre Sylva Algeriensis.
L'ingénieur civil des eaux et forêts Grim était ce qu'on appelle interdit d'écriture, comme chez Staline, comme chez Franco, comme chez Salazar... comme chez les dignitaires du secteur forestier d'Algérie.
1995 - Élaboration de 25 notices techniques (n° 1 a`25) sous le timbre Sylva Algeriensis. L' ensemble des structures forestières s'opposent à leur impression avant diffusion et remarques éventuelles.
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'ensemble des structures forestières d'Algérie.
1996 - Élaboration de 37 notices techniques (n° 26 a`62) sous le timbre Sylva Algeriensis. L' ensemble des structures forestières s'opposent à leur impression avant diffusion et remarques éventuelles.
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'ensemble des structures forestières d'Algérie.
1997 - Élaboration de 138 notices techniques (n° 63 a`200) sous le timbre Sylva Algeriensis. L' ensemble des structures forestières s'opposent à leur impression avant diffusion et remarques éventuelles.
- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'ensemble des structures forestières d'Algérie.
- 5 - 2000-2009
2000- Interdiction - non notifiée - d'exercer une activité en forêt ou d'avoir une responsabilité quelconque dans l'ensemble des structures forestières d'Algérie.
- Éviction de l'administration forestière d'Algérie à compter du premier novembre: date hautement symbolique pour les nationalistes d'Algérie car correspondant au jour de l'année 1954 où le F.L.N. engagea le combat pour l'éviction des Français d'Algérie.
2006 - Interventions sur le site actu environnement.
2007 - Interventions sur les sites actu environnement et tsa algerie.
2008 - Interventions sur le site le quotidien d'algerie.
2009 - Interventions sur le site djelfa.com (inactif depuis 2011).
6 - 2010-2014
2010 - Interventions sur le site saida nature et djelfa.com (inactif depuis 2011)
- Création du site www.foretnumide.com
2011 - Interventions sur le site www.foretnumide.com