L'arbre, de gros diamètre, masquait probablement une ligne de mire. Pour permettre au topographe de poursuivre son travail de piquetage on doit nécessairement supprimer la végétation obstruant la visée. Le travail s'effectuant à la hache et au passe-partout, on imagine la durée du temps d'attente avant que l'opérateur de la boussole forestière poursuive son cheminement à travers les peuplements de pin d'Alep et la végétation secondaire (lentisques, filarias, chênes kermès, genévriers...).