« Ce pari (sur l'avenir) reposait aussi sur quelques certitudes dont, en premier lieu, celle relative au potentiel de production de la forêt algérienne, estimée par l'examen des cernes annuels d'accroissement et qui est autrement plus important que le laissent croire les opinions habituellement exprimées.»
Le mémoire de Benoit Leleux avait pour finalité de vérifier et quantifier cette ''certitude''.
Nous nous sommes élevés plusieurs fois - notamment sur ce site - contre le fait que le travail de Benoit Leleux - pourtant novateur et argumenté - soit volontairement ignoré des praticiens comme des universitaires d'Algérie.