La formulation ne peut être qu'interrogative lorsqu'on ne possède pas de compétences en matière d'industrie des énergies renouvelables.
Pour ce qui est par contre du Barrage vert, y avoir renoncé après avoir dénaturé le projet, conduira notamment à un résultat aussi simple qu'épouvantable: la désertification jusqu'au bord de la mer Méditerranée.
Nota
- Le Barrage vert réduit à une plantation d'arbres sur une bande de 20 km de largeur et 1200 km de longueur est une stupidité inventée pour discréditer le projet.
- Prêter aux initiateurs du projet l'idée qu'une bande boisée de 20 km de largeur constitue un obstacle à ''l'avancée du désert'' relève de la pure calomnie.
- Le projet Barrage vert était couplé à un plan d'aménagement généralisé des formations forestières. Le pur bon sens veut en effet qu'il ne sert à rien de reboiser si par ailleurs la forêt naturelle est détruite.
- En réitérant que ses moyens ne permettent pas de réaliser les reboisements d'envergure prévus, c'est l'administration forestière qui a amené le gouvernement à confier les plantations aux militaires du contingent. Or tes travaux étaient largement à la portée du service forestier.