La presse écrite, la radio et la télévision participèrent à cette campagne dont la caution scientifique était Bachir Kadik, alors directeur de l'INRF. Les garants politiques avaient pour noms Mohamed Rouighi et Aissa Abdellaoui.
Cette plante originaire de l'Arizona et du Mexique devait, selon ses promoteurs, procurer en plus de bienfaits de nature écologique des revenus financiers mirifiques à l'Algérie.
L'affaire ayant tourné à l'échec total - dont on se garde bien de parler - on préconisa l'introduction massive de Pinus eldarica, un arbre du Caucase, sensé également receler de qualités supérieures à celles pin d'Alep d'Algérie.
Plus tard, Kheloufi Benabdeli proposera l'introduction en grand d'Ailanthus glandulosa un arbuste de Chine dont on décida administrativement également qu'il était supérieur au pin d'Alep.
Il a été possible de retrouver sur le Web le titre d'un article consacré à la tentative d'introduction du Jojoba dans la zone du Barrage vert (le texte n'a pas été mis en ligne).
Ghazi, A. - Essai d'introduction du Jojoba en Algérie. Min. Hydr. Env. For.,Algérie, 1987.