Grosso modo on reproduira les mêmes remarques que celles émises sur ce site en avril-mai 2012 à propos d'une thèse de magister soutenue dans la même université également en 2011.
À la page 16 du mémoire de doctorat il est écrit '' Le travail d'aménagement effectué par Grim (1989) sur une superficie forestière de l'ordre de 20 000 hectares...''.
Si par ''aménagement'' l'auteur du mémoire se réfère à l'opération de compartimentage des massifs forestiers, la surface travaillée dépasse largement 50 000 hectares et couvre tout ou partie des subdivisions de:
- Sidi Embarek,
- Oualla,
- Tefessour,
- Aïn Beïda-Fidjel *.
* Dénomination encore provisoire au moment de l'arrêt - par la violence et l'illégalité - du projet. Le directeur de thèse du doctorat a d'ailleurs apporté une contribution déterminante à l'interruption injustifiée des opérations d'aménagement.
Le même directeur de thèse a fait paraître en 2006 dans une revue française un article consacré à la commune d'Aïn el Hadjar y compris ses formations forestières. À aucun moment les travaux d'aménagement ou de préaménagement n'y sont évoqués.
Jusqu'au début des années 1990 le terme parcelle a été utilisé de manière inappropriée pour désigner les territoires délimités par le réseau de compartimentage et de desserte. Il s'agit en fait de compartiments constitués d'un nombre variable d'étendues homogènes dénommées plages.
L'auteur du mémoire de doctorat et les membres de son jury d'examen auraient dû savoir que le terme parcelle a été abandonné depuis une vingtaine d'années que ce soit à l'étape de l'élaboration des aménagements ou de celle de leur application.
Le terme série a également été remplacé par section dénomination plus juste lorsqu'il s'agit d'appréhender un territoire composé de plusieurs compartiments contigus couvrant approximativement 700 hectares - dans le cas des forêts de la subdivision de Sidi Embarek.
Pour terminer, signalons - comme pour texte de magister soutenu en 2011 - que l'auteur du mémoire de doctorat et les membres du jury d'examen ont volontairement ignoré le travail de Abdallah Lezzar (déjà cité).
À la page 16 du mémoire de doctorat il est écrit '' Le travail d'aménagement effectué par Grim (1989) sur une superficie forestière de l'ordre de 20 000 hectares...''.
Si par ''aménagement'' l'auteur du mémoire se réfère à l'opération de compartimentage des massifs forestiers, la surface travaillée dépasse largement 50 000 hectares et couvre tout ou partie des subdivisions de:
- Sidi Embarek,
- Oualla,
- Tefessour,
- Aïn Beïda-Fidjel *.
* Dénomination encore provisoire au moment de l'arrêt - par la violence et l'illégalité - du projet. Le directeur de thèse du doctorat a d'ailleurs apporté une contribution déterminante à l'interruption injustifiée des opérations d'aménagement.
Le même directeur de thèse a fait paraître en 2006 dans une revue française un article consacré à la commune d'Aïn el Hadjar y compris ses formations forestières. À aucun moment les travaux d'aménagement ou de préaménagement n'y sont évoqués.
Jusqu'au début des années 1990 le terme parcelle a été utilisé de manière inappropriée pour désigner les territoires délimités par le réseau de compartimentage et de desserte. Il s'agit en fait de compartiments constitués d'un nombre variable d'étendues homogènes dénommées plages.
L'auteur du mémoire de doctorat et les membres de son jury d'examen auraient dû savoir que le terme parcelle a été abandonné depuis une vingtaine d'années que ce soit à l'étape de l'élaboration des aménagements ou de celle de leur application.
Le terme série a également été remplacé par section dénomination plus juste lorsqu'il s'agit d'appréhender un territoire composé de plusieurs compartiments contigus couvrant approximativement 700 hectares - dans le cas des forêts de la subdivision de Sidi Embarek.
Pour terminer, signalons - comme pour texte de magister soutenu en 2011 - que l'auteur du mémoire de doctorat et les membres du jury d'examen ont volontairement ignoré le travail de Abdallah Lezzar (déjà cité).
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